samedi 9 février 2013

Le moment d'égarement de Daniel Lapraille dans l'Avenir du Luxembourg


Je n’étais pas présent au dernier conseil communal. À ce titre, je ne me permettrais pas d’écrire la moindre ligne sur ce qu’il s’y est dit et encore moins de porter le moindre jugement. Tout ce que j’en ai appris m’a été raconté et donc interprété. À moi de juger mes sources (mêmes les plus proches) pour ensuite faire preuve de jugement critique et d’intégrité.
Ce «minimum minimorum» de l’honnêteté intellectuelle ne semble pas avoir étranglé Monsieur Daniel Lapraille qui dans l’Avenir du Luxembourg signe un billet dans lequel le parti pris côtoie l’erreur professionnelle. 
Je serai toujours du côté d’une presse libre et indépendante à condition que celle-ci fasse preuve du minimum de sérieux requis pour être publiée. 
Pour ma part, je ne suis affilié à aucun parti politique et il serait souhaitable que les journalistes ne perdent pas de vue leurs missions. Pour autant, le moment d'égarement est humain ... et Arlon comme Bertogne est aussi Kyoto.

http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20130209_00266444

2 commentaires:

  1. J'étais au Conseil Communal ce vendredi. Je ne me souviens pas avoir vu Mr Lapraille... Ce journaliste aurait-il écrit cet article sur base des dires de son collègue présent ???

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  2. Il faut garder un certaine neutralité... mr Lapraille!
    Essayer plutôt d'améliorer votre journal.....
    Il n' y a pas que le foot...
    Soyez à la recherche des fautes de gestion, soyez des journaliste d'investigations!!

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